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Claire Bâcle : « On est toute une nouvelle génération à vouloir créer notre vision du métier »

La Plaine-sur-Mer (44) Maturité et bienveillance. Voilà comment on pourrait définir Claire Bâcle, maître d’hôtel à l’hôtel-restaurant Anne-de-Bretagne depuis 2016 et lauréate 2019 du Prix du meilleur service de l’année pour un restaurant français.

Claire Bâcle : 'Dans notre équipe, il y a une véritable émulation. Je voudrais que tout le monde apprenne tout le temps !'
Claire Bâcle : ‘Dans notre équipe, il y a une véritable émulation. Je voudrais que tout le monde apprenne tout le temps !’
À 29 ans, Claire Bâcle a succédé à Hervé Parmentier, son homologue du restaurant Pierre Gagnaire, en tant que meilleure chef de salle.
À 29 ans, Claire Bâcle a succédé à Hervé Parmentier, son homologue du restaurant Pierre Gagnaire, en tant que meilleure chef de salle.

Prix du meilleur service de l’année pour un restaurant français : la récompense est venue saluer en 2019 le professionnalisme de Claire Bâcle, maître d’hôtel à l’hôtel-restaurant Anne de Bretagne, à la Plaine-sur-Mer.

La jeune femme, qui a enchaîné les expériences dans de nombreuses maisons étoilées après avoir obtenu son diplôme de licence professionnelle des arts culinaires et des arts de la table, y officie depuis 2016. “Dès le départ, je me suis dirigée vers des restaurants étoilés et Relais & Châteaux parce que ce sont des valeurs qui m’ont parlé tout de suite.” Après plusieurs saisons, la jeune femme devient assistante maître d’hôtel à Megève. “J’avais envie de me rapprocher de chez moi et de construire quelque chose de plus concret et personnel, alors j’ai cherché sur la côte Atlantique. C’est là que j’ai rencontré Mathieu Guibert en octobre 2016. Il recherchait une maître d‘hôtel et m’a engagée sur ce poste ! De novembre à janvier, j’ai appris aux côtés de Mme Vétélé, l’ancienne propriétaire et chef de salle. J’ai compris la maison, sa relation avec les clients.

Une vision globale du service

Le matin, j’arrive la première pour accueillir mon équipe. Je vérifie les réservations, les bons cadeaux, à quelle occasion ils ont été offerts, pour pouvoir créer un premier lien avec les clients. C’est beaucoup de temps mais c’est un atout. Je passe aussi du temps à recueillir les impressions de nos clients suite à leur séjour. Puis, vérification en salle pour voir si tout est bien mis en place. Ensuite, on fait un briefing en cuisine. C’est la première fois que je vois cela et on y partage beaucoup de choses. Pendant le service, je gère l’accueil, la prise de commandes avec une personne de mon équipe. Au début, j’avais la volonté de prendre toutes les commandes, de voir tous les clients. Maintenant, je délègue parce que je veux avoir une vision plus globale du service et surtout transmettre mes connaissances et compétences. Dans notre équipe, il y a une véritable émulation. On va tous dans le même sens. Je voudrais que tout le monde apprenne tout le temps !

Équilibre et épanouissement

Ce que Claire Bâle pense apporter en plus à ses équipes ? “L’épanouissement, l’équilibre. Mon rôle est aussi important avec les clients qu’avec eux. Je prends autant de plaisir à ce qu’un client me dise qu’il a passé un super moment qu’un membre de mon équipe qui me dit qu’il est bien dans son travail. Il y a beaucoup de maisons ou vous avez du mal à trouver cet équilibre.

La nouvelle génération

On est tout une nouvelle génération à vouloir créer notre vision du métier où l’équilibre personnel-professionnel est important, avec un service bienveillant. Quand je suis en salle, je perçois davantage ce que les gens attendent de moi, avec l’impression d’être plus là pour assurer le côté humain et bienveillant que pour annoncer les plats, même si j’en ai une connaissance précise. Il n’y a plus la même relation. Depuis que j’ai reçu le prix, les gens me voient un peu différemment, alors que ça n’a rien changé pour moi. C’est une grande fierté parce qu’ici, 70 % de nos clients sont locaux. Ils ressentent une petite appartenance en se disant : ‘C’est une fille d’ici qui a eu un prix !’”

Avec l’amicale autorisation du Journal de l’Hôtellerie

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